Albert Pontillon, Directeur des Systèmes d’Information - Communauté de communes du Petit Caux
La Communauté de communes du Petit Caux est une structure intercommunale française, située dans le département de la Seine-Maritime, région Haute-Normandie, entre Dieppe et Le Tréport. Elle regroupe 18 communes du département de la Seine-Maritime : Assigny, Auquemesnil, Belleville-sur-Mer, Berneval-le-Grand, Biville-sur-Mer, Bracquemont, Brunville, Derchigny, Graincourt, Glicourt, Gouchaupre, Greny, Guilmécourt, Intraville, Penly, Saint-Martin-en-Campagne, Saint-Quentin-au-Bosc, Tocqueville-sur-Eu, Tourville-la-Chapelle
Malgré
sa taille modeste (18 communes, pour environ 9 000 habitants), la Communauté de
communes du Petit Caux est une zone relativement riche et en pleine évolution,
avec une population jeune. C'est une collectivité dynamique qui dispose d'un
budget important compte tenu de sa taille et de compétences élargies (elle gère
un parc d'infrastructures routières et de bâtiments particulièrement
important). Un dynamisme qui se traduit également au niveau technologique :
effort d'équipement informatique particulièrement important (287 ordinateurs en
réseau, 8 serveurs virtualisés), GED performante.
PROBLÉMATIQUE
La Communauté de communes
du Petit Caux se situe sur une échelle nationale à un niveau statutaire
important par l’ampleur des compétences qu’elle exerce : elle couvre la
gestion de la petite-enfance, le secteur sportif, la voirie (70 Km de routes),
les zones côtières et, de façon plus classique, les zones d’activités
économiques, l’office du tourisme, 7 groupes scolaires où l’on compte un
millier d’élèves. M. Albert Pontillon en est le Directeur des Systèmes
d’Information, avec en plus une responsabilité sur la téléphonie et l’énergie.
Il accumule 27 années d’expérience en informatique dont 18 ans à la Ville de
Fécamp et une dizaine d’années en responsabilité au Petit Caux.
« Nous sommes venus
à la GED au départ pour des raisons pratiques, » explique Albert Pontillon,
«Les responsables n’étaient en effet pas tous présents en permanence, il
fallait cependant qu’ils accèdent à leurs documents de travail d’où ils se
trouvaient. Dans un premier temps, un VPN (réseau privé virtuel) apportait un
moyen d’accès, mais pas aux courriers. J’ai pu, à l’époque de notre recherche
(avant 2006), examiner le fonctionnement de certaines solutions de GED
proposées sur le marché et je leur ai trouvé deux gros défauts. D’abord, la
modification de la structure des documents intégrés à la GED, qui ne pouvaient
plus être lus avec les logiciels d’origine, tels que Word de Microsoft ou
Acrobat d’Adobe. En second lieu, le classement, donc ensuite la recherche des
documents pouvaient entraîner quelque confusion... par exemple si tel document,
disons une facture d’achat, est indexé par le système de GED sur le nom
d’en-tête de la société émettrice, et que celle-ci possède plusieurs marques ou
entités (Orange / France Télécom), des recherches n’aboutissent pas, ou alors
une petite différence dans la saisie du nom recherché déclenche la création de
trois ou quatre dossiers pour un même fournisseur, d’où un éparpillement
inutile. »
CHOIX DE LA SOLUTION ET DÉPLOIEMENT
La
veille technologique faisant partie de son action courante, Monsieur Pontillon
avait répertorié une douzaine de GED différentes quand le moment d’un choix
s’est approché, à savoir en 2006. Son attention s’est fixée particulièrement
sur la GED novaxel, qui d’emblée semblait présenter des avantages déterminants
par contraste avec les deux défauts généralement observés par lui dans les GED
du moment : la modification de la structure du fichier ; le système
de classement. La GED novaxel ne modifie pas le document, qui reste dans sa
structure d’origine ; il y a simplement une compression pour un gain de
place sur disques. « C’est une sécurité pour l’acheteur, qui pourra
toujours ressortir ses documents dans leur état d’origine, en cas de
besoin, » précise Albert Pontillon. « Quant au système de classement,
là Novaxel est imbattable, grâce à un raisonnement de base tout simple
représentant l’arborescence sous la forme familière de l’armoire d’un bureau
avec ses étagères, ses classeurs, ses dossiers… en une demi-journée de
manipulation tout le monde peut comprendre, et j’imagine que le système peut
s’adapter à tout type de client utilisateur dans le public ou le privé. De
plus, la fonctionnalité de visualisation du document à l’écran est un
facilitateur indéniable.»
La
Communauté de communes met dans sa GED un maximum de documents. « Ma
philosophie est que tout document est important », confie Albert
Pontillon. « Soit il est objectivement important au premier instant T,
soit il peut soudain le devenir alors qu’il paraissait anodin au jour J. Je me
rappelle un courrier signalant que l’étal d’un camelot sur le marché débordait
sur la chaussée, cela semblait peu de chose ; mais quelques mois plus tard
un accident est survenu à cause de cela, et ce courrier devenait une pièce
importante. »
bÉNÉFICES
« Je suis satisfait de
constater, après sept années d’exploitation, que les deux principales qualités
que j’avais cru pouvoir attribuer à la GED novaxel dans la phase de sélection
se sont bien confirmées : simplicité et capacité d’ouverture. Aujourd’hui,
après un usage intensif, je peux y ajouter : stabilité et fiabilité.
Depuis nos débuts avec Novaxel, nous avons pu évoluer vers un accès web à
distance et intégrer la signature électronique des documents au travers de
l’accord de Novaxel avec ChamberSign : un clic pour une signature !
Par le workflow intégré, nous pouvons faire le suivi et la gestion de nos
documents dans leur cheminement de validation de service en service. »
ÉvolutionS
Il faut savoir que le passage au Protocole
d’Echanges Standard Version 2 (PES V2) sera effectif à la date du 1er janvier
2015. Il oblige à dématérialiser les flux comptables, supprimant la circulation
du papier dans le relations comptables avec la Trésorerie Générale (bulletins
de paie, factures, compte administratif, budget prévisionnel,…). « Grâce à
son avance dans la dématérialisation, notre Communauté de communes a été
choisie comme collectivité test, tandis qu’hélas beaucoup de collectivités sont
encore au tout papier. Aujourd’hui, à un an et demi de la mise en place du PES
V2, je ne peux que les encourager à se doter d’une GED ouverte permettant une
arborescence numérique capable de répondre ensuite à la règlementation PES
V2, » insiste Albert Pontillon. « Nous allons tout droit vers le sans
papier intégral. Nous allons ainsi intégrer une zone parapheur permettant de
valider nos documents dans leur avancée au travers du workflow, et notre GED
novaxel, qui peut être vue actuellement comme un système d’archives vivantes et
dynamiques, est en passe de devenir, en plus, le coffre-fort sécurisé de nos
documents. »
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